Solange La Bourge « Saison 2 » : Salope Encore Et Toujours Devant La Caméra. (Partie 9/10)

Solange et Patrick son mari, avaient tous les deux le fantasme de tourner un film porno dans des conditions réelles du direct, dans un vrai studio avec des acteurs, les partenaires d’un soir de Solange. Ils ne voulaient pas un film d’amateurs réalisé avec un téléphone portable mais que cette vidéo ne soit pas diffusée sur écran ou internet car la profession de Solange ne le permettait pas.

Patrick qui était de la partie avec sa société de production connaissait beaucoup de monde notamment la société J&M et d’autres, des spécialistes dans ce genre de film. Le hic, le contrat de ces maisons d’édition était tel que la vidéo serait obligatoirement diffusée et les conditions de retrait étaient bien trop compliquées, tout ceci dans le but de préserver leur famille.

Sa société, tournant des spots publicitaires, avait tout le loisir de réaliser ce film, il y avait tout le matériel et équipement nécessaire pour monter cette vidéo. Patrick avait son idée, il ne voulait surtout pas que cela se passe dans une simple chambre, sur un banal lit, il désirait que Solange soit aux prises avec quatre hommes, quatre inconnus pour elle. Il loua donc un studio tout équipé, il restait à choisir les partenaires. Les acteurs professionnels étant trop difficiles à trouver, Patrick rechercha dans ses connaissances.

Le premier fut Norbert, il travaillait de temps à autre avec sa société en tant que preneur d’image. Devenu son ami, Patrick connaissait son endurance et ses qualités de bon baiseur. Lorsqu’il lui avait parlé du projet, Norbert était partant à 100%. Le deuxième acteur choisi, fut Gaël, le monteur de films de l’entreprise, un célibataire toujours à l’affût de tout ce qui avait deux seins et trois trous, lui aussi, Patrick n’eut aucune de difficulté à le convaincre.

Les deux autres, lui avaient été conseillés en discutant avec des amis de leur profession, ils avaient déjà participé un jour ou l’autre à des films X.

La condition sine qua non était qu’ils devaient fournir pour le jour du tournage un test HIV, car les prises de vues devaient être toutes, sans préservatif.

Quelques jours avant le tournage, Patrick les avaient réunis pour leur expliquer que l’actrice principale était Solange, son épouse et qu’il serait présent, aux commandes en tenant la caméra et qu’ils ne devaient en aucun cas, changer leur comportement. Il ne désirait pas de la baise à papa, mais du hard, qu’ils soient tous avilissant envers son épouse, qu’ils la considèrent comme une salope qu’elle était. Norbert devait commencer, et les autres, y compris lui, tiendraient leur rôle de technicien.

Il tenait beaucoup à la dernière scène, la plus humiliante pour Solange, il leur donna ses consignes et ils devaient si besoin, au cas où Solange ne veuille pas s’y soumettre, la violenter quelque peu afin qu’elle accepte. Toutes les scènes étaient donc mises au point, ce qui était interdit était le fist et l’uro. Une dernière chose, qui avait son importance, en arrivant au studio, les acteurs devaient poser leur téléphone portable sur la table car aucune photo ne devait être prise.

Puisque Gaël réalisait le montage en fin de tournage, Patrick lui avait fait signer un contrat de confidentialité qui stipulait qu’aucune image ne devait être diffusée. Tout s’était donc passé comme il l’avait envisagé. Solange va donc vous narrer cette histoire qu’elle vécut devant la caméra.

Je tenais particulièrement à publier cette histoire, car elle était probablement une de mes préférées, sans doute dans le top 10. J’avais pris énormément de plaisir à vivre cette partie de sexe et j’avais tellement joui ce jour-là que j’en fut épuisée.

Comme beaucoup de couple, se faire filmer lors de relations intimes, était un fantasme que nous voulions vivre. Ne pouvant pas passer par des sociétés de films pornographiques et ne voulant pas être exhibée sans pudeur sur internet, mon mari décida de réaliser lui-même le film.
Lorsqu’il m’en avait parlé, je fus réellement excitée de ce projet qui ne verra le jour que sur l’écran de notre télévision, mais qu’importe, ce qui me réjouissait c’était de vivre comme une actrice porno pendant un tournage. Ce que je ne savais pas, c’était que j’aurais quatre partenaires, je pensais que je serais filmé avec un seul acteur.

Ce fut ainsi qu’un samedi après-midi, Patrick avait loué un studio à une société qui en proposait tout équipés, pour des shoots de photographes ou cinéastes. Le studio se composait d’une kitchenette, toilette et salle de bains et d’une salle d’environ cinquante mètres carrés, pourvue de fauteuils, canapé convertible, table, etc.

Lorsque j’arrivais avec mon mari, les projecteurs, réflecteurs, parapluies étaient déjà installés, ainsi qu’une caméra. Il me présenta à l’acteur principal : Norbert, la cinquantaine avancée, l’air assez quelconque, bel homme toutefois. Puis il me présenta les techniciens : Gaël, trente ans environ, Kevin, la quarantaine et Adrien frôlant les cinquante. Leurs rôles étaient la prise de vue, le son et l’éclairage. Je savais mon mari très professionnel, pour cette raison, je m’inquiétais en le prenant à part :

— Ils travaillent pour toi, dans ta société ?
— Non, pas tous, Norbert est un intermittent et Gaël est mon monteur. Les deux autres, je ne les connais pas, c’est un confrère qui me les a conseillés.
— Si Gaël travaille pour toi, ça ne te gêne pas, toute ta boite va le savoir.
— Et alors ! Ça ne me dérange pas, au contraire. Que Gaël leur dise que j’ai une belle et jolie femme qui en plus est une salope qui aime se faire baiser, je ferai des envieux !

Il me fit un clin d’œil et m’embrassa. Son candaulisme était bien au rendez-vous, tel que je connaissais mon mari depuis vingt ans ! Avant de commencer, Adrien nous servit le café, et Patrick en profita pour énoncer le scénario en spécifiant :
— Bien ! L’histoire est simple, c’est du porno, donc il n’y a que l’entrée en matière qui compte, ensuite, aucun conseil, de la baise, encore de la baise et toujours de la baise.
Ne regardez pas la caméra, mais ne lui tournez pas le dos, sauf si c’est pour montrer tes fesses Solange. Allez, on finit le café, on se lave les dents et on attaque.

J’allais la première dans la salle de bain, j’ajustais mon maquillage, un peu de parfum, et j’étais prête.
— Ça tourne, lança Patrick
Il tenait une caméra en main ainsi que Kevin. Je ne m’attendais pas à ce que l’éclairage soit si puissant, mais ça correspondait à ce qu’il désirait. Norbert était assis sur le canapé. Je frappai à la porte et j’entrai. Je rejoignis mon hôte qui se leva pour m’embrasser, puis il fit un pas en arrière pour me déshabiller du regard de la tête aux pieds.

— Tu es charmante Solange, je ne m’attendais pas à une aussi belle femme. Sais-tu pourquoi tu es ici ?
— Euh, oui et non, me hasardais-je à lui répondre tout en haussant les épaules.
— Patrick ne t’a pas dit ?
— Je vais peut-être me répéter, mais oui et non.

En réalité je ne savais pas trop quoi dire, et j’attendais qu’il prenne les initiatives.
— Ton mari m’a dit que tu aimais te faire baiser, que tu aimais jouir, alors il a pensé à moi pour que j’ comme il se doit d’une petite salope comme toi.

Avec ses propos orduriers je fis peu à peu abstraction aux caméras et aux trois « techniciens ». Sauf de mon mari qui jubilait déjà de la situation. Cependant ma nature de femme complaisante m’empêchait de répondre, n’osant prendre les devants. Tout en me regardant fixement, Norbert ôta ma veste.
— Voyons voir, qu’est-ce que cache ce chemisier ? Retire-le ! M’ordonna-t-il.

Je me pliai à ses exigences tout en me soustrayant de mon soutien-gorge avant qu’il ne mît enjoigne. Son regard brilla en se portant sur mes seins lourds et laiteux. Il me contourna et se plaqua contre mon dos. Ses deux mains m’enserrèrent et vinrent malaxer mes chairs.
— Ce n’est pas des seins que tu as ma salope, mais ce sont des pis !
Murmura-t-il à mon oreille.
Puis les emprisonnant dans sa paume, il les souleva vers mon visage en disant :
— Quand tu te branles, il t’arrive de les sucer ?
Comme je ne répondais pas il poursuivit :
— Fais-le pour moi.

Je baissai alors ma tête, ses mains pressaient mes seins vers mes lèvres qui formèrent un anneau sur mon téton droit que j’aspirais sans aucune appétence. Puis il me poussa vers le canapé où il s’assit, me laissant debout face à lui. Il déboutonna ma jupe sur le côté qui se déroba sur mes pieds. Hormis mes bas, auto fixant, j’étais nue car Patrick ne souhaitait pas que je porte de culotte, il voulait m’exhiber en femme infidèle. Mon pubis était totalement glabre et se situait au niveau de son regard :
— T’es bien la pute que Patrick m’a parlé !

Il m’empoigna et me fit me vautrer sur le canapé tandis qu’il s’agenouillait entre mes cuisses. Sa bouche avide s’abandonna sur mon sexe et ce fut avec frénésie qu’il se mit à flagorner mon intimité de manière salace et bruyante. Lui, si retenu jusque-là, devenait impatient, un vorace impudique, se goinfrant de ma vulve en aspirant mes lèvres, mon clitoris, me fouillant de ses doigts dans un rythme effréné alors que son autre main me pétrissait les seins et agaçait mes mamelons.

Furtivement, je vis Patrick au sourire ravi et empli de vice. Je fermais les paupières et je m’abandonnais au plaisir violent de Norbert qui au bout d’un moment décolla son visage de mon ventre suintant de mon jus, de sa salive et de trois de ses phalanges en moi, il se mit à me masturber avec soin mais tout aussi virilement.
— Non !!! Haletais-je dans un début de jouissance.

J’avais un grand mal à me retenir, mon ventre se liquéfiait, mon plaisir montait, je resserrais mes cuisses sur sa main qui s’engluait de ma mouille. « Arrêtez ! » pleurais-je dans l’orgasme qui secoua mon corps.
— Tu jouis salope ! Vas-y vide toi !

Je ne pouvais endiguer mon plaisir, mes muscles ne répondaient plus, je nous salissais de ma jouissance, de mon inconsistance fruit de mon vice. Puis Norbert replongea son visage entre mes cuisses pour s’abreuver de ma déchéance de femme. Mon orgasme était passé, il faisait place à un enivrement de bien-être.
— Nettoie mes doigts ma petite pute.
Dit-il en me tendant sa main aux fils de salive gluante. J’aspirais un à un ses doigts, en me délectant de ma propre souillure.

Un instant plus tard, les rôles étaient inversés, il était nu, j’étais entre ses jambes à aspirer son gland, à le lécher tout en le masturbant.
— Branle-moi entre tes nibards ! N’oublie pas de lubrifier !

Prenant mes seins entre mes mains, je régurgitais à plusieurs reprises de ma salive, puis j’enserrais la verge entre mes globes. Je faisais attention de ne pas trop l’enflammer, je ne connaissais pas son endurance et je ressentais l’envie de le prendre en moi. Il me prit sous les aisselles et me tira sur lui. Je guidai sa verge dans mon sexe. Des « flop, flop » sordides de nos corps se baisant furent le seul son qui brisait le silence. Il pétrissait ma lourde poitrine tout en la dévorant de sa bouche, puis il m’attira vers lui et nos lèvres et nos langues se mêlèrent de manière obscène, jusqu’à nous en faire baver. Ses coups de reins, me pilonnaient, je me cambrais davantage pour que sa hampe puisse me posséder de toute sa longueur.

Soudain, un corps nu se plaqua contre mon dos, Gaël ou Kevin. Quoiqu’il en soit, l’homme derrière moi frottait sa verge entre la raie de mes fesses. Je m’attendais à être sodomisée lorsqu’on me tira par les cheveux.
— Suce-moi !

C’était Adrien qui me tenait, sa queue dans sa main qui pointait vers ma bouche. Je me mis à le sucer puis lorsqu’un gland qui sinuait entre mes fesses, dérapa sur mon périnée et força mon vagin, cette dilatation de deux sexes en moi furent foudroyant. Deux hommes me baisaient ! Je devenais folle de bonheur, je criais des inepties, « encore, oui encore », « bandes de salauds, baisez-moi encore ». Je tremblais de partout.

Patrick me filmait, les deux autres types se relayaient pour que j’honore leur sexe dans ma gorge. Je percevais des injures qui me faisaient comprendre qu’ils voulaient me posséder non pas comme une amante, mais comme la salope que j’étais à leurs yeux. Sous la chaleur des projecteurs et de nos ébats, nos peaux en sueur chuintaient dans un concert de corps s’étreignant. Des mains giflaient mes fesses, mes seins, alternant la jouissance au trouble des sens. Je me retrouvais assise sur Adrien qui me sodomisais entendant dire Patrick :
— Encule-là bien Adrien, défonce-là ! Elle adore ça.

Adrien y allait de tout son cœur, disons plutôt de toute sa queue, tandis que Gaël me dévorait ma poitrine tout en me fouillant de ses doigts. Je ne savais plus où j’étais, qui était là, je ne faisais que jouir. Mon corps n’était plus qu’une chose, qui recevait alternativement des sexes dans ses orifices, des gifles, des crachats sous des quolibets orduriers, mes seins étaient meurtris, et pourtant je jouissais d’être ainsi souillée. Mes orgasmes se succédaient.

Après un temps que je ne pourrais définir, ils m’avaient allongée par terre, sur le dos à même le sol. J’avais entendu leurs râles. Ils s’étaient agenouillés à côté de moi et se masturbaient à tour de rôle, je les regardais faire, c’était assez excitant de voir des hommes prendre du plaisir sur son corps. Leurs longues giclées de sperme visqueux avaient éclaboussé ma poitrine et mon ventre. Quant à Patrick qui tenait la caméra, lui s’était masturbé debout, tout en filmant, tellement excité par cette aventure, il s’était également vidé les couilles en s’épandant sur moi.

Mais cela n’était pas terminé, Norbert toujours agenouillé à mes côtés, m’avait pris le poignet et avait posé ma main sur mes seins.
— Caresse-toi maintenant. Met tes doigts dans ta chatte gluante de notre foutre pour te branler, et lèche tes mamelles.

Ça pourrait sembler être humiliant d’obéir, en se donnant du plaisir de la sorte devant ces hommes, mais j’étais dans un autre monde, celui de la débauche et du plaisir, alors les paupières closes, je fis abstraction de leur présence et de mes doigts fouillant mon anus, mon sexe tout en léchant mes seins maculés de sperme, je me fis jouir une dernière fois.

Deux semaines plus tard, Patrick m’avait demandé de passer le chercher à sa société. C’était un faux-prétexte. Je n’avais appris que plus tard, que la veille il avait organisé une séance vidéo pour ses collaborateurs. Maintenant je comprends mieux leurs regards posés sur moi, ainsi que les différents appels téléphoniques que je reçus et leurs propositions indécentes.

En repensant à cette histoire, mon ressenti à la fin de la séance était un grand vide, j’étais fourbue physiquement mais aussi épuisée psychiquement, sans doute dû aux orgasmes violents que je venais de vivre.

La double pénétration vaginale fut pour moi extraordinaire, percevoir une sorte de douce brulure due à la dilatation du vagin mais aussi ce va et vient, non synchronisé, de deux verges en moi, comprendre et savoir que deux hommes me baisaient en même temps n’était que du bonheur. Sans compter les claques que je recevais sur mes fesses et qui me sortaient de ma léthargie, je ressentis du bien-être de cette pratique, car là-aussi, pendant qu’un partenaire me caressait la poitrine, Gaël ou je ne sais qui doigtait mon anus, tout ce cumul fut très intense, c’était un mélange de volupté et de débauche sordide.

Si, comme Solange et Patrick, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email.

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